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Par evelaw le 12 Novembre 2011 à 20:45
A toute la blogosphère...
Continuons notre visite des musées de la Métropole Lilloise
et poursuivons la découverte des multiples aspects
de la belle ville de Wattrelos, voici donc :
L'entrée du Musée
Ouvert depuis 1989, le musée des Arts et Traditions Populaires de Wattrelos est installé dans une ancienne ferme traditionnelle picardeappelée aussi " cense ", datant de la fin du XIX siècle.
Ce musée fête ses vingt ans cette année et offre au visiteur un voyage dans le temps, de 1850 à 1950, avec une grande collection d'objets, disparus de nos jours, mais faisant partie du quotidien il y de cela 150 ans.
Les différents bâtiments sont reliés entre eux et s'organisent autour d'une grande cour carrée typique.
Loin d'être inertes ces objets sont regroupés dans des saynètes
racontant, dans le détail la vie à la maison, au travail
ou durant les loisirs au XIXème siècle.
Une aile du bâtiment est consacrée à l'habitat d'époque avec cuisine flamande et cuisine de ferme,
une autre vous fait découvrir les métiers d'autrefois ou ceux qui se pratiquent différemment aujourd'hui.
La troisième partie accueille des expositions temporaires
liées aux traditions populaires.
Une salle de classe autrefois
La Laiterie
La cuisine de ferme
La vie quotidienne dans une cuisine flamande
Le Savetier
Le Boucher dans sa boutique
L'orgue de Barbarie à manivelle
Rien à déclarer ?....
Le Bar à bières de la région
à consommer avec modération....
La cour de ferme
Dans la cour sont exposés des machines agricoles
et des objets qui servaient dans la ferme.
Il y a encore bien d'autres belles choses à montrer et à dire
mais je ne veux pas lasser mes aminautes.....et la suite sera pour une prochaine fois si vous le voulez bien.
Sources et Liens :
27 commentaires -
Par evelaw le 17 Octobre 2011 à 02:58
J'espère que vous avez profité au maximum de ce beau week-end d'automne, et je vous propose pour débuter cette semaine
une petite visite à "La Piscine" de Roubaix, ancienne piscine Art-Déco réhabilitée en Musée d'Art et d'Industrie
qui est de plus en plus apprécié non seulement par les Nordistes mais également au-delà des régions et des frontières....
Si vous vous souvenez, je vous avais présenté ce musée dans l'un de mes premiers articles, au début de mon blog, et je vous propose une seconde visite avec de superbes oeuvres.
En surfant sur le net, j'ai découvert de très belles photos, que je m'empresse de faire partager.
En voici quelques unes dont certaines vraiment très originales.
Commençons par l'extérieur avec tout d'abord
L'ancienne entrée de la piscine de Roubaix que j'ai connue dans mon enfance....
et où j'ai appris à nager en compagnie de mes camarades de classe.
L'architecture est originale.
Une architecture bien pensée: anciens et nouveaux bâtiments.
Sculptures : Galets géants
Un fragment de cheminée et vestiges des murs d'usine
Passons maintenant à l'intérieur
Les escaliers Art-déco d'époque sauvegardés
Découvrons ce décor superbement réhabilité
Vue d'ensemble avec le portique en céramique sculpté,
les cabines, la verrière "Soleil levant"
le bassin entouré des statues aux dimensions humaines
Le Portique illuminé
Détail du portique et perspective sur une statue
La Fontaine "Lion" alimentant le bassin
et les belles céramiques
Et maintenant admirons quelques oeuvres avec
Les sculptures
La Muse
La Maternité
Saisissants de vérité ces 3 hommes usés par le dur labeur.
Un Rodin
L'Arbre aux visages
Sclulpture sur bois très originale
L'arbre aux visages détail "Le Trio"
Plus surprenant un peu de "Modernité"
Chaises empilées sur lit d'oranges cerclées de bouteilles de Cola
Les Tableaux
Les joueurs de Bourle de Rémy Cogghe
Oeuvre dans une cabine, "Une Penseuse"
Le Peintre et sa famille
La section Orientaliste - Une toile magnifique
et pour terminer
Un superbe vitrail signé Jacques Gruber Peintre Verrier
et
Une collection de meubles Art-Déco
Voilà un aperçu des richesses de ce Musée qui je l'espère vous plaira.
Pour en savoir plus cliquer sur le lien :
http://www.vacanceo.com/albums_photos/
10 commentaires -
Par evelaw le 27 Septembre 2011 à 19:59
La fête des Allumoirs :
les lanternes du samedi soir
La fête des Allumoirs est tout ce qu'il y a de vivace encore de nos jours et l'irruption du terrible Halloween dans nos traditions populaires allait-elle balayer les gentils allumoirs ? Eh bien non, ils résistent solidement à l'envahisseur.
La fête des allumoirs est une tradition
qui remonte aumilieu du XIXème siècle.
Vieille coutume wallonne restée très vivace dans de nombreuses villes de Lille Métropole et au long de la frontière Franco-Belge.
Dans le passé la fête des Allumoirs marquait l'arrivée de l'automne
et le retour des soirées à la lumière des lampes,
mais surtout de la nuit qui empêchait les ouvriers du textile de travailler à la lumière naturelle.
C'était avant l'avènement de l'électricité, et c'était une vraie kermesse.
Pensez donc, les fabriques chômaient trois jours,
voire jusqu'à une semaine.
Selon la tradition, ce sont les enfants des ouvriers du textile qui allaient chercher du feu (au temps où ils n'y avaient pas l'électricité) et revenaient chez eux pour éclairer leurs maisons.
Tous les ans, c'est aussi une fête des couleurs et des lumières,
à l'approche de la nuit.
L'ambiance est agréable, on ne se prend pas au sérieux,
on défile en musique, on se déguise à l'occasion
(ce qui est contraire à la tradition),
et les enfants sont ravis.
Le grand moment, c'est le cortège.
De ce point de vue, ça n'a d'ailleurs pas changé,
si ce n'est que les lanternes prêtes à l'emploi n'existaient pas.
Les enfants se servaient de pots en terre cuite ou utilisaient des betteraves qu'ils avaient creusées, à moins qu'il ne se fût agi de citrouilles. Sur ce dernier point cependant, tout le monde n'est pas d'accord. Il est vrai qu'on peut s'interroger : quelle taille, la citrouille ? Car même évidée, cette cucurbitacée est parfois imposante et pèse alors un poids respectable.
Toujours est-il que, le moment venu, l'on plaçait dans les réceptacles des « carbons de fau »,
c'est-à-dire des braises de bois de saule, ensuite saupoudrées de grains d'encens.
Pendant le cortège, les enfants balançaient leurs allumoirs au bout d'une corde, ce qui avait pour double effet d'entretenir le feu et de parfumer leur passage. Combien de temps pouvait tenir une betterave dans laquelle il y avait des braises, nous l'ignorons, tout comme nous ignorons si elle finissait ou non par se transformer en caramel.
Un autre grand moment de la soirée
était le retour des participants au défilé.
La fête se poursuivait autour d'une soupe bien chaude ou d'un plat de haricots et de saucisses servi dans les cabarets : fin septembre, début octobre la nuit, il fait un peu frisquet se dira-t-on à ce sujet.
Sources et liens :
http://essai.federationgeants.fr
J'espère que ce petit historique de cette fête traditionnelle de notre région vous aura intéressé
et vous remercie pour votre amicale attention.
7 commentaires -
Par evelaw le 16 Août 2011 à 13:00
Il y a aujourd'hui 34 ans (16 août 1977)
Elvis nous quittait en laissant beaucoup de fans dans la peine, mais dans nos coeurs et nos esprits, il est toujours présent...
Aucun autre artiste au monde n'a suscité autant de littérature, de fanatisme, de diffusions radiophoniques, et vendu autant de disques qu'Elvis Presley, du temps de son vivant comme depuis sa disparition.
Sans lui, pas de rock 'n' roll, pas de rock du tout, pas de centaines de milliers d'emplois à travers le monde depuis les années 50. Sa stature légendaire est incontournable de l'histoire de la planète depuis.
Pas seulement sa musique, mais son aura, sa beauté, son aisance et sa voix reconnaissable entre mille, ont influencé non seulement des générations de musiciens et chanteurs, mais la jeunesse du monde occidental.
(source : Deezer)
J'espère que vous apprécierez cette chanson que j'aime personnellement beaucoup.
(ne pas oublier de fermer la musique d'accueil du blog pour mieux apprécier !...)
5 commentaires -
Par evelaw le 20 Juin 2011 à 14:21
Si le coeur vous en dit, voici la suite de la visite ....
merci de m'accompagner agréablement !
Un patrimoine architectural sauvegardé.
Les bâtiments, d'architecture vernaculaire,
c'est à dire construits par les habitants eux-mêmes
et provenant des anciennes provinces de Flandre, Artois, Hainaut, Picardie,
retrouvent leur contexte dans ces hameaux verdoyants
et offrent aux visiteurs une promenade culturelle, environnementale et pédagogique.
Grange dîmière d’Esquelbecq - XVIIIème siècle - Flandre
Démonté en 1987, ce vaste bâtiment de 177 m2
provient de la ferme du Château d’Esquelbecq.
Les 2 portes percées en son centre permettaient aux paysans
de s’arrêter pour s’acquitter de la dîme, impôt versé en nature.
Maison de Bollezeele - XVIIIème siècle - Flandre
Autrefois située entre la rue et le jardin, cette maison de retraité agricole
était construite à l’entrée du village.
Comme souvent en Flandre,
l’imposte de la porte côté jardin est ornée d’un soleil couchant.
De chaque côté du couloir central se trouve la pièce de vie,
une petite cuisine et la chambre haute "VoutKammer".
La chambre haute, dans la chaumière de Killem-Lynde, du 18ème s.
Quelques objet de l'artisanat du textile.
Chaumière de Millam - XVIIIème siècle - Flandre
Cette maison de journalier agricole est couverte d’une imposante toiture à la frisonne,
type de couverture qui a complètement disparu en Flandre française.
Dans un même cadre, se trouvent présentés l'habitat construit
avec les éléments originaires du site (argile, bois, chaume…)
et son espace naturel domestique (jardin alimentaire, jardin médicinal, verger…),
ainsi que son environnement naturel semi-maîtrisé (mares, haies, pâtures…)
Les animaux animent naturellement le site.
Les animaux domestiques, tous issus de races régionales en péril,
sont largement présents au Musée de Plein Air.
Ici tout comme autrefois,
poules, ânes, canards et même dindons
redonnent un goût de campagne.
La Laine des moutons dans un joli panier d'osier
et pour terminer cette promenade sur une note insolite,
Runes
En Flandres, des signes runiques en briques de couleurs
marquent les pignons des maisons.
Maison de Zuytpeene - 1763
La roulotte du berger
Une roulotte "cercueil", juste assez grande pour s'y allonger ;
elle devait servir d'abri et de couchette aux bergers,
comme le suggère la paillasse sur la roue.
et
"Maison de Zoé la sorcière",
en mémoire d’une femme étrange - rebouteuse -
qui habitait cette maison au début du XXème siècle.
Voilà, c'est tout pour cette fois...
mais la découverte continuera prochainement,
si vous le voulez bien !!...
Liens :
Les textes et images de cet article ont été empruntés sur le net
http://www.museedepleinair-asso.org
11 commentaires -
Par evelaw le 26 Mai 2011 à 01:09
Pour mon retour sur la blogosphère (enfin !!),
je vous propose de m'accompagner pour une promenade
au Musée de Plein Air de Villeneuve d'Ascq.
http://museedepleinair-asso.org/
Le Musée de Plein Air est né de la volonté d’une femme,
disparue en août 2008, Monique Teneur,
qui, durant 25 ans, s’est battue pour que ce musée existe.
Situé en plein coeur du Val de Marque,
ce site de 14 hectares retrace la richesse
et la diversité de l'architecture vernaculaire
des XVII, XVIII et XIXe siècles.
L' association de sauvegarde du Patrimoine Rural
et des Métiers des Régions Nord
se consacre depuis de nombreuses années
à la création de ce musée de Plein Air,
véritable miroir de la vie rurale.
Il regroupe 23 bâtiments sauvés de la démolition
et réédifiés à titre de témoins ethnologiques.
L’Association Monique Teneur Sauvegarde du Patrimoine Rural
assure la sauvegarde
et la valorisation de bâtiments et de savoir-faire traditionnels.
Chaumière de Killem-Lynde - XVIIIème siècle - Flandre
Cette construction fut la première à être sauvée par l’Association.
Elle retrouve aujourd’hui sa vocation d’origine
avec la reconstitution d’une ancienne apothèque :
de nombreux objets médicaux et pharmaceutiques provenant
de la collection Bayer-Schering y sont exposés.
Chapelle de Sainte Marie Cappel - XIXème siècle - Flandre
Située sur le tracé de l’Eurostar,
cette chapelle devait être rasée lorsqu’elle
fut sauvée in extremis par l’Association.
Fait très rare, elle a deux portes qui permettaient
sans doute aux processions locales de la traverser.
Chapelle-chaumière d’Houdain - XVIème siècle - Artois
Unique en son genre, cette chapelle-chaumière fut réédifiée en 1997.
Réplique des chaumières, elles étaient édifiées par les villageois
avec les matériaux trouvés sur place, chaume, terre et bois.
Jadis nombreuses en Artois... par manque d’entretien,
elles ont malheureusement toutes disparues.
Fournil comunal d’Hondeghem - XVIIIème siècle - Flandre
Le four à pain "ovenkot" en flamand fut au cours des siècles
un élément indispensable de la vie des villageois,
avant l’apparition des boulangeries au XIXème siècle.
Il y en avait un ou deux par village.
C’était un lieu de convivialité pour les habitantsqui venaient y cuire leur pain.
A suivre ...
si cela vous intéresse, je me ferai une joie
de publier la suite dans un prochain article.
En attendant, je vous incite bien évidemment
à visiter le site officiel du Musée de Plein Air
très documenté,
extêmement intéressant et instructif,
d'où sont extraits les textes et images de cet article.
http://museedepleinair-asso.org/
Merci pour votre attention et votre fidélité.
20 commentaires -
Par evelaw le 24 Avril 2011 à 15:00
Bonnes et Joyeuses fêtes de Pâques
à toute la blogosphère !!...
Voici un article intéressant
(cliquer sur l'image pour afficher en grand format)
5 commentaires -
Par evelaw le 22 Avril 2011 à 19:58
Bonsoir à toute la famille du blog,
Aujourd'hui pour vous mettre dans l'ambiance de fête
en ce week-end Pascal,
je vous propose un peu de nostalgie mais en gaité,
avec ces trois vidéos sympas
Tout d'abord ambiance blues...
ensuite un petit "boogie"
et pour terminer en beauté,
notre "JOJO" national,
accompagné par Florent Pagny
"Toute la musique que j'aime...."
J'espère que cela vous aura donné envie de danser et vous amuser, en vous souhaitant de passer
de joyeuses fêtes de Pâques....
UN GRAND MERCI
pour vos visites, vos aimables coms
et votre fidèle amitié.
3 commentaires -
Par evelaw le 13 Avril 2011 à 23:29
Bonsoir à toute la famille du blog,
Aujourd'hui pour vous mettre dans l'ambiance de fête
en ce week-end Pascal,
je vous propose un peu de nostalgie mais en gaité,
avec ces trois vidéos sympas
Tout d'abord ambiance blues...
ensuite un petit "boogie"
et pour terminer en beauté,
notre "JOJO" national,
accompagné par Florent Pagny
"Toute la musique de j'aime...."
J'espère que cela vous aura donné envie de danser
et vous amuser,
en vous souhaitant de passer
de joyeuses fêtes de Pâques....
UN GRAND MERCI
pour vos visites, vos aimables coms et votre fidèle amitié.
4 commentaires -
Par evelaw le 8 Février 2011 à 08:00
Affiche officielle Carnaval 2011
Bonsoir à toutes et tous,
Comme chaque année en début Février, le CARNAVAL de DUNKERQUE est lancé...c'est une manifestation festive incontournable pour notre région.
Aussi, si vous le voulez bien, je vous invite pour certain(e)s à la découvrir et pour ceux et celles qui connaissent, à vous en rappeler l'importance...
Extrait d'un article paru dans Nord Eclair récemment et une vidéo pour vous en faire partager l'ambiance joyeuse....
(Pour éviter la cacophonie, ne pas oublier de couper la musique d'accueil).
Bien évidemment, l'idéal serait de pouvoir vous y rendre pour en profiter pleinement, cela vaut le coup de se déplacer ....
J'espère que vous apprécierez et que vous passerez un bon moment de détente...
Alors, amusez-vous bien et bon carnaval !!
Pour tout savoir sur l'historique du Carnaval, le programme des bals et festivités, n'hésitez pas à visiter le site officiel de la ville de DUNKERQUE qui lui est spécialement dédié .
http://www.ville-dunkerque.fr/fr/je-vis-adunkerque/carnaval-dunkerque/
17 commentaires -
Par evelaw le 19 Décembre 2010 à 18:22
à tous mes ami(e)s du blog
En ce dimanche, je vous propose
de découvrir un autre aspect
de cette belle ville du Touquet
Cliquer sur l'image pour afficher en grand format
Cela vous donnera peut-être l'envie
d'aller y faire une petite visite
en cette période de fêtes de fin d'année
si vous vous trouvez dans la région,
mais prenez garde au verglas
et soyez prudents sur la route enneigée !!
Bonne fin de week-end
et merci pour votre visite.
8 commentaires -
Par evelaw le 16 Août 2010 à 00:27
Déjà 33 ans qu'Elvis nous a quittés, mais nous, ses amis dans le monde et ses fans ne l'oublient pas, le souvenir de sa personnalité charismatique et sa musique restent gravés dans nos esprits et nos coeurs.
Petit rappel de sa biographie :
Elvis Aaron Presley, dit « The King »
Naissnce : 8 janvier 1935 à Tupelo, Mississippi - Décès : 16 août 1977 à Memphis,Tennessee)
Chanteur et acteur américain. Son influence sur la culture musicale est mondiale, au point d'être considéré comme l'un des chanteurs les plus importants du xxe siècle.
De son vivant, il s'est vendu 700 millions de disques. À l'heure actuelle, on estime qu'il s'en est vendu 1 milliard dans le monde.
Il a joué dans 31 films, donné 1 156 concerts aux États-Unis et trois au Canada), et a donné 525 spectacles à Las Vegas. Il a été le premier artiste à donner un concert retransmis par satellite. Le concert eut lieu le 14 janvier 1973 à Hawaï et passe pour avoir été regardé simultanément par un milliard et demi de téléspectateurs dans 43 pays : un record d'audience jamais égalé.
Il est apparu dans sept émissions de télévision.À sa mort, sa fortune personnelle représentait 100 millions de dollars américains.Il est l'un des artistes solo qui a vendu le plus de disques dans le monde de son vivant. Ce phénomène a continué après sa mort. Pendant quatre années consécutives, il a été l'artiste décédé qui a rapporté le plus d'argent. Plus que des mots pour le souvenir, voici deux vidéos :
Sources :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Elvis_Presley
11 commentaires -
Par evelaw le 1 Août 2010 à 22:01
Aujourd'hui, je vous propose une petite excursion au-delà de la fontière Belge, toute proche de chez moi ; en route vers LA PANNE, sur la Côte Belge.
La Panne (en néerlandais De Panne) est une commune néerlandophone de Belgique située en Région flamande dans la province de Flandre-Occidentale.
C'est une petite station balnéaire, située sur la Mer du Nord. Elle est appréciée par les touristes, entre autres, pour sa grande plage dont la largeur atteint par endroit 250 m à marée basse, sa longue digue commerçante, et pour la proximité du parc naturel du Westhoek. Le char à voile y est beaucoup pratiqué.
Cette ville est la localité la plus occidentale de la Belgique sur la Mer du Nord avant la frontière française.
La Panne tire son nom de celui des zones interdunaires humides, également appelées pannes.
La Panne est surtout connue pour ses dunes immenses, sa plage la plus étendue de la côte ouest belge et l'ambiance toujours agréable. De plus, De Panne est le berceau du char à voile.
LA PLAGE - LE FRONT DE MER - LES DUNES
HISTOIRE
La Panne est un lieu peuplé de longue date puisqu'on y a retrouvé des vestiges d'habitats protohistoriques, romains et post-romains.
C'est à La Panne que le premier roi des Belges, Léopold 1er de Beliqur mit le pied sur « ses » terres le 17 juillet 1831. Un monument commémore cet évènement devant l'esplanade qui porte son nom.
C'est également à La Panne que le roi Albert Ier de Belgique séjourna durant la Première Guerre Mondiale, après que l’armée belge se soit retranchée derrière l'Yser, le 15 octobre 1914, et que l'Allemagne ait pris possession de l'essentiel du territoire belge.
LES PETITES MAISONS DES DUNES
LE FRONT DE MER ET LA DIGUE
TRANSPORTS
La Panne est desservie par un tramway appelé "De Kusttram" (Le tram du littoral) et qui parcourt 70 km jusqu'à Knokke-Heist, à la limite de lafrontière des Pays-Bas.
Son terminus à La Panne assure l'interconnexion avec la ligne de chemin de fer nà la gare d'Adinkerque-La Panne.
LE TRAM DU LITTORAL
FAUNE ET FLORE
Les domaines naturels y sont nombreux et étendus : 340 ha pour la réserve naturelle du « Westhoek », 61 ha pour la réserve communale du « Oosthoek », 45 ha pour le « Calmeynbos » et 100 ha pour le domaine de « Cabourg ».
On peut notamment visiter « le Sahara », une promenade « dunière » de 400 m de large, où on trouve des dunes à différents stades de formation. On y rencontre de nombreux animaux comme l’hermine, la martre, le petit duc, le crapaud, le triton et bien entendu, le lapin.
EVENEMENTS SPORTIFS
Une course de chars à voile est un événement connu internationalement.
Elle a lieu chaque année au mois de septembre. La toute première course de chars à voile ayant été organisée sur la longue plage de La Panne date du début du xixe siècle.
Au printemps, se déroule également une course cycliste appelée les « Trois Jours de La Panne ».Fin Novembre ou début décembre se déroule La Beach Endurance : une course cycliste sur sable d'une cinquantaine de kilomètres.
et pour terminer cette promenade,
voici un superbe coucher de soleil sur la Mer du Nord à La Panne
J'espère que cette petite promenade en Belgique
vous aura fait passer un moment agréable.
Les textes et photos ont été récupérées sur le site officiel de :
http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Panne
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Par evelaw le 31 Juillet 2010 à 17:15
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LA VILLE DE WASQUEHAL - Suite de la promenadeVue sur le Grand Boulevard de Lille à Roubaix
(ancienne photo du Mongy)
lien : http://fr.wikipedia.org/wiki/Wasquehal
Espace Cirque "La Gardine"C’est le 02 avril 2001 que l’Espace Cirque « La Gardine », Musée du Cirque de Wasquehal, a vu le jour, inauguré par Madame Arlette GRUSS (t) et Monsieur Gérard VIGNOBLE Député Maire de la commune. Cette structure est l’œuvre d’une association crée en 1991 et regroupant une vingtaine de membres.
L’Espace Cirque accueille essentiellement des expositions sur des durées de trois ans. Le Musée du Cirque, c’est plus d’une vingtaine d’activités s’offrant au tout public (visites, organisation d’anniversaire...), aux établissements scolaires (animations pédagogiques, création de spectacle de fin d’année...) ainsi qu’aux collectivités (location d’expositions itinérantes, animations centre de loisirs...).
Alors n’hésitez pas à venir vous plonger dans l’univers magique du cirque !
Ouverture les mercredis, samedis et dimanches de 14h00 à 18h00 (fermeture des caisses à 17h15) et les autres jours uniquement sur réservation. Fermeture les jours fériés, le mois d’août ainsi que les dimanches du 01 mai au 30 septembre inclus.Espace Cirque « La Gardine » 41 avenue de Flandre 59290 WASQUEHAL
Tél / Fax : 03.20.98.38.06liens : http://espace.cirque.free.fr
Archives personnelles de Maxence Van der Meersch
En 2007, à l’occasion du centenaire de la naissance de Maxence Van der Meersch, écrivain du Nord, un accord a été conclu avec la ville de Roubaix, pour que les archives personnelles de l’écrivain, propriétés de la ville de Wasquehal soient intégralement numérisées et mises en ligne dans la bibliothèque numérique de la ville de Roubaix.
Maison de Maxence Van Der Meersch à Wasquehal
Maxence Van der Meersch , de son vrai patronyme Vandermeersch, est un écrivain français né à Roubaix le 4 mai 1907, décédé le 14 Janvier 1951 au Touquet où il s'était établi pour soigner sa tuberculose.
Parmi ses oeuvres : L'Empreinte du dieu, prix Goncourt en 1936
(cet auteur fera l'objet d'un article spécialement consacré à sa biographie et son oeuvre prochainement).
Wasquehal, ville fleurie
Wasquehal, ville aux 4 fleurons, offre à ses habitants un cadre et une qualité de vie très agréables : espaces verts et fleuris, squares, plaine de jeux, berges aménagées...
Il existe un règlement du concours annuel des maisons fleuries. Ce concours municipal récompense chaque année 250 wasquehaliens, il s’inscrit totalement dans les lignes du concours national, et les efforts des citoyens ont pesé dans la balance lors de l’obtention de la 4 ème fleur.
Le marché aux fleurs
Ronds-points fleuris et décorés
En espèrant que cette petite visite dans Wasquehal vous aura été agréable,
je vous remercie pour votre attention.
A bientôt.
Les textes et images ont été empruntés au site officiel de :
http://www.ville-wasquehal.fr/
7 commentaires -
Par evelaw le 27 Juillet 2010 à 16:36
La ville de WASQUEHALle centre-ville
La ville de Wasquehal se situe dans le Nord de la France entre Lille et Roubaix. Ses frontières jouxtent les villes de Mons en Baroeul, Marcq en Baroeul, Croix, Mouvaux, Tourcoing et Villeneuve d’Ascq.
Le plus ancien document relatant le nom de WASQUEHAL remonte à la fin du XIème Siècle. Le Seigneur Gérard de Waskenhal appartenait à une famille noble et ancienne de l’époque. Le nom actuel de la ville résulte de déformations successives. Au fil des recherches, on le voit écrit de différentes façons. Ce n’est qu’en 1789 que les Administrations Seigneuriales furent remplacées par des Municipalités élues.
Située sur les bords de la rivière La Marque la région se trouvait au cœur des invasions barbares et la vie nomade ne les avait pas formées à la construction en dur. Le nom n’est pas flamand comme on pourrait le penser mais d’origine germanique, Waschen-hal peut se traduire en tudesque : halle à laver ou lavoir.
En l’an 2005 la ville compte 18561 habitants, 566 Établissements commerciaux et Industriels, près de 155 commerçants et artisans totalisant plus de 13.500 emplois.La ville se trouve à une altitude de 22 mètres sa superficie est de 686 Hectares pour une densité de 2.703 habitants au Km². (Source INSEE)
Depuis 1977, Monsieur Gérard VIGNOBLE est maire de la ville de Wasquehal. Depuis celle-ci n’a cessé de se développer sur le plan sportif, culturel, économique ; la qualité de vie y est préservée car l’environnement a toujours été l’une des préoccupations majeures de la municipalité.
Aujourd’hui, desservie par deux stations de métro, la ville de Wasquehal complète ses infrastructures de communication et offre ainsi à sa population un nouvel équipement à la hauteur de ses ambitions.
Patrimoine Historique
Emblème du patrimoine de la ville, l’Eglise Saint-Nicolas a traversé l’histoire, et tient une place particulière dans la vie des citoyens, croyants ou non. Même si la première pierre de l’Eglise Saint-Nicolas actuelle ne fut posée qu’en 1877, l’ensemble, complété par les orgues en 1989, la restauration des vitraux et du Maître-autel plus récemment, mérite qu’on s’y arrête plus longuement.
Trois édifices au fil du temps
A l’époque où les grandes cathédrales commencent à sortir de terre, Wasquehal n’avait même pas une chapelle. Pourtant en 1252, la commune qui ne compte qu’une soixantaine de foyers, commence la construction de sa première église.
La présence du cimetière à cet endroit depuis le haut-moyen âge, et la fidélité des Chrétiens aux lieux sacrés, fait penser que cette première construction fut bâtie sur l’actuelle place du général de Gaulle. En 1482, les troupes de Louis XI lancée à la poursuite de celles de Maximilien d’autriche, atteignent Wasquehal, brûlent le centre du village et détruisent l’église.
1511 voit s’élever la seconde église sous la seigneurie de Robert de Ranchicourt et de Catherine de Bergues. Les reliques de Saint Maur ayant disparu dans les évènements, Saint-Nicolas qui était déjà trés honoré en devient le Saint Patron.
Jugée trop vétuste et trop petite, elle cède la place à l’édifice actuel en 1877.
La facade de style gothique, posséde un tympan de pierres sculptées, et un portail de chêne. La tour culmine à 40 m de hauteur, tandis que le clocher atteint les 50 m.
Les trésors de Saint-Nicolas
Trois reliquaires
Le culte des reliques a connu son apogée au Moyen-Age. Pensant que Dieu était trop lointain, l’homme priait les Saints afin qu’ils intercèdent en leur faveur. Les chrétiens restaient en contact avec les Saints en touchant leurs reliques.Les reliquaires sont souvent des oeuvres d’art richement décorées qui se devaient de révéler tout le précieux qu’ils contenaient.
L’église Saint-Nicolas possède trois reliquaires en forme de chapelle de style néogothique de la première moitié du XIXè siècle. :
- Celui de Saint-Maurice contient deux os de sa jambe, et leur authentification par Monseigneur Villain évêque de Tournai, vers 1653.
- Celui de Saint- Christophe, un fémur et un os de jambe et un parchemin d’autentification.
- Le reliquaire de Saint Fortunat contient divers fragments d’os et un crâne consolidé de cire et ceint d’un demi-bandeau gravé et leur parchemin d’autenthification.
Les cloches :
Il ne subsiste qu’une seule cloche de l’ancienne église : “Caroline-Ferdinande”, 210 kgs et 0.75 m de diamètre, la plus grande cloche “Joséphine-Charlotte” ayant été enlevée par les allemands en 1917.En 1929, deux autres cloches les ont rejoint : Marie-Clémentine-Eugénie-Henriette, et Françoise-Thérése-Jeanne-Amélie. Les cloches portent le nom de leurs marraines ou parrains.
Le tableau : La nativité de Van Oost (1688) :
Héritier à la fois de la tradition flamande et des grands maîtres d’Anvers, Van Oost est en même temps imprégné des cultures italienne et française. Il épouse en 1670, Marie Bourgeois, d’une famille lilloise, et s’installe dans la cité. Jusqu’en 1708, date de son retour à Bruges, le peintre ne cesse de produire des oeuvres religieuses et des portraits pour les églises de la région.Le maître Autel : Au fond du choeur domine un Maître Autel. Datant du XIX ème siècle, cet ensemble en pierre et plâtre polychrome et doré, mesure 4, 40 m de long et 2, 30 m de haut. Parmi les sculptures, on peut y reconnaître une représentation de la nouvelle église Saint Nicolas. Dernièrement ce chef-d’oeuvre a été restauré, et les couleurs d’antan ont pu retrouver leur éclat d’origine.
Les orgues : joyau du patrimoine wasquehalien
C’est en 1985 que Gérard Vignoble constate à quel point l’orgue de l’église Saint-Nicolas donne des signes de défaillance, bien compréhensibles après un siècle d’existence et les détériorations durant la grande guerre. Naît alors le projet des grandes orgues de l’église Saint-Nicolas. Ce projet, soutenu par la municipalité est emmené par l’association “Au coeur de l’orgue”, qui reçoit à l’époque les avis favorables de la Direction de la Musique et de la commission diocésaine d’Art sacré. En décembre 1989, les grandes orgues sont finalement inaugurées.
L’orgue de Saint Nicolas : instrument et oeuvre d’art
Réalisé par Gérald Guillemin, l’orgue wasquehalien est de facture allemande. Ce fut à l’époque un des tout premiers de ce type. On peut dire que sa construction a fait date dans l’histoire contemporaine de la facture d’orgue en France et a suscité l’exemple par la suite. 30 000 heures de travail ont été consacrées à sa création et son installation.Avec ses 3 claviers de 56 touches, ses 2800 tuyaux, l’orgue de Saint Nicolas a été joué par des musiciens de renommée mondiale.
Aujourd’hui encore, des élèves de conservatoire viennent apprendre cette discipline musicale unique avec leur professeur Didier Braem, qui joua un grand rôle dans la mise en place du projet et qui aujourd’hui encore est en quelque sorte le “conservateur” de l’orgue.
Au-delà de la qualité de l’instrument, les orgues constituent une véritable oeuvre d’art avec de splendides sculptures en chêne massif sur les frontons du buffet et des tourelles, qui sont en parfaite harmonie avec l’ensemble de l’église.
Le saviez-vous ? Orgue : féminin ou masculin ?
Orgue est un nom masculin, mais depuis le XVIIIe siècle, il est masculin au singulier et féminin au pluriel quand il désigne un seul instrument. On dit : l’orgue ou les grandes orgues d’une église.Le nouvel orgue a suscité des réalisations tels qu’un timbre à son effigie en 1991 ou encore des enregistrements de disques. C’est le cas du disque de la chorale paroisssiale St Nicolas qui a utilisé largement l’orgue.
L’église Saint -Nicolas et ses orgues : pôle d’attraction culturel
Avec les orgues de Saint Nicolas, la ville s’est dotée d’un élément de patrimoine incontournable. Plus encore, l’orgue a contribué à créer un pôle d’attraction culturel au coeur de la métropole.
En effet, l’église dont la fonction première est d’accueillir les paroissiens, est devenue également un lieu prestigieux pour les concerts proposés par la municipalité dans le cadre de sa programmation culturelle. Qualité acoustique, lumière, chaleur de l’église : tous les artistes s’accordent à dire que l’église Saint Nicolas est un lieu propice à la musique...
Et sans aucun doute au recueillement.
LA FERME DEHAUDT
Elle est située dans le prolongement du Parc Urbain de la ville de Wasquehal, de 6 hectares aménagés, bordé par le Canal de Roubaix.
La Ferme DEHAUDT est une des toutes premières fermes d’animations de la région Nord. Sa vocation de ferme animalière s’est affirmée avec la création du G.I.F.A.E. (Groupement International des Fermes d’Animations Educatives). Au travers d’une vie saine et active qu’elles offrent, les Fermes d’Animations Educatives, par leur projet et par les contacts qu’elles permettent, conduisent les enfants au respect de la Nature et de la Vie.
Des activités tout au long de l’année !
C’est une charmante petite ferme qui vous tend les bras au bout de l’impasse du Triest. Accueillis par Mauricette la dinde, les poneys, les canards, les chèvres, vous pourrez aussi bien aller vous-même à la rencontre des animaux que vous inscrire à une des nombreuses animations proposées par l’équipe de la ferme pédagogique.Au programme : découverte de l’eau dans tous ses états, des animaux de la ferme et de leur maison, nourrissage des animaux, fabrication de pain, observation des oiseaux...
Autant d’activités à faire en famille pour le plus grand plaisir des petits et des grands, tout en apprenant à respecter l’environnement.
Ces activités sont proposées aux enfants du Centre de Loisirs de la Ferme :
-Atelier poney à partir de 7ans.
-Activités liées à la Ferme à partir de 3 ans-Activités de découverte de la ferme : fromage, pain, apiculture, soins....
-Activités de découverte de notre environnement : dans le parc, autour du canal...
-Séjours thématiques (notre structure possède un hébergement de 35 lits)
-Régulièrement, des activités sont proposées aux familles : découverte des arbres et fabrication de papier recyclé, grand jeu de découverte du parc, du canal et de la Ferme, journées festives....Pour chaque activité, des plaquettes sont à votre disposition, n’hésitez pas à prendre contact avec la ferme Dehaudt au 03 20 98 55 09.
Les berges du canal : un véritable atout !
C’est sûr, désormais les berges du canal sont ancrées comme lieu de promenade pour bon nombre de concitoyens !
Pour preuve, l’invasion des promeneurs,rollers, joggers, cyclistes et autres machines à roues le dimanche.
Réhabilitation de qualité pour ce canal qui fait partie intégrante de notre histoire locale, espace naturel retrouvé et préservé offrant aux citoyens un cadre incomparable ! Eclairage, bancs publics, pontons pour les mordus de pêche à la ligne, sont venus compléter l’aménagement des chemins de halage proprement dit ! Et le résultat est assez impressionnant, vous pouvez parcourir en toute saison et en plus de 4 heures de marche les 12.5 kilomètres le long du canal grâce à un sentier pédestre qui traverse les villes de Bondues, Mouvaux, Marcq en Baroeul, Wasquehal bien sûr ! D’où vous partirez de la ferme Dehaudt pour finir en pleine forme ou épuisé devant l’office de tourisme !
La balade s’effectue également sur l’eau grâce à la « Décidée » qui vous emmène tranquillement sur le canal de Roubaix pour une heure de croisière pas comme les autres !
Wasquehal et l’eau : une longue histoire
Trois voies d’eau se rejoignent sur le territoire de Wasquehal : la Marque rivière qui se jette dans la Marque urbaine au niveau du Port du Dragon, la Marque urbaine (ou canalisée) qui démarre de ce même port pour se jeter dans la Deûle à Marquette-Lez-Lille et le canal de Roubaix qui traverse la ville et se jette dans la Marque urbaine.
Très vite donc, l'équipe municipale en 1977 comprend l’atout de ces voies d’eau, et met en place une politique de protection de l’environnement et d’intégration de celles-ci dans la ville. C’est pourquoi, Wasquehal s’engage aux côtés des autres villes riveraines dans des syndicats intercommunaux, afin de défendre leurs intérêts. Rendre à la Marque l’aspect attractif d’une rivière, traiter les boues de la Marque canalisée jusqu’à son confluent avec la Deûle pour lui redonner sa vocation fluviale...
A suivre......
à découvrir, bien d'autres aspects de cette voisine de Villeneuve d'Ascq.
Les textes et images de cet article ont été empruntés aux sites officiels de :
http://www.ville-wasquehal.fr/
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Par evelaw le 16 Juillet 2010 à 12:48
Pour ce week-end, je vous propose une petite sortie au Touquet, jolie station balnéaire très appréciée sur la Côte d'Opale,
Le Touquet-Paris-Plage
Est une Commune située dans le département du Pas-de-Calais, à l'embouchure de la Canche dans la Manche.
La station du Touquet doit sa création et son développement à deux hommes extraordinaires par leurs idées novatrices : le Français Jean-Baptiste Daloz et le Britannique John Whitley.
Plaque commémorative de la création du Touquet par Alphonse Daloz.
Elle est fière de son patrimoine architectural et de ses 16 bâtiments inscrits à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques qui en font la station balnéaire française la plus titrée.
La commune est située sur la Côte d'Opale, qualificatif dû à la couleur donnée par les reflets irisés du soleil couchant sur la mer.
C'est au touquettois Édouard Lévêque, peintre, écrivain et botaniste, qu'est due cette appellation.
En picard, « le touquet » signifie « le tournant ». C'est en effet à un tournant que se trouve situé la ville, à l'extrême pointe de la Picardie et très précisément du Marquenterre, sur la rive gauche de la Canche.
Exemples de Villas typiques classées
Villa "Le Castel" 1904 (architecte : Henri VALETTE)
Préservation en raison du caractère néo-médiéval.La tourelle évoque la vue lointaine vers la mer.
La villa Les Mutins - 1925
Les villas protégées du boulevard Thierry Sabine.
Station phare de la Côte d'Opale, élégante, avec ses villas cossues nichées dans la forêt, est située dans le département du Pas-de-Calais, à l'embouchure de la Canche dans la Manche.
Le Touquet possède un excellent niveau d'équipements sportifs et de loisirs : centre équestre, golfs, tennis, centre nautique, parc nautique Aqualud, Centre de Thalassothérapie, 2 Casinos. Son centre ville de style anglo-normand et sa fréquentation huppée.
Le jardin d'Ypres
Il est situé dans le prolongement du marché couvert.
Ainsi dénommé car durant la Première Guerre Mondiale,
cet endroit fut transformé en un immense champ de pommes de terre
chargé de nourrir 6000 réfugiés belges de la ville d'Ypres.Le flamboyant hôtel de ville - 1931 - Boulevard Daloz
Le Touquet - Le marché couvert sous les voûtes en pierre.
Le Touquet, la perle de la Côte d'Opale, est une cité branchée et tendance.
Le Touquet continue d'être très prisé des britaniques. Le "Channel" les fait venir en grand nombre. Les parisiens y reviennent de plus en plus nombreux, grâce à l'ouverture de l'autoroute A16, Le Touquet est maintenant à 2 heures de Paris.
Le Touquet animé toute l'année est : la " station des quatre saisons ".
Le Touquet spectacle haut en couleur : chaque été la ville gagne des prix pour son fleurissement exceptionnel.
Le Touquet célébre également pour le shopping de luxe de la rue Saint-Jean.
La rue de Metz ainsi que la rue de Londres sont de plus en plus actives et fréquentées.Flâner sur la rue Saint-Jean, un must, un passage obligé.
Le phare de la Canche du Touquet
Le Golf du Touquet situé au coeur d'une forêt de pins centenaires
et de dunes sauvages.
Balade le long de la plage du Touquet.
Balade archititecturale sur la digue promenade : l'ancien plongeoir de la piscine.
Cet ancien plongeoir construit en 1949, est l'élément majeur de l'ancienne piscine d'eau de mer.
C'est en 1931 que les Touquettois découvrent la plus belle piscine d'Europe aux dimensitons inhabituelles de 66,66 m de long soit tout juste 200 yards!
Le tour de force de l'architecte d'origine est d'avoir maintenu l'ensemble de la construction au niveau de la digue promenade. Les 3500 places en gradins avaient ainsi vue sur la mer.
Ce bijou était la fierté des Touquettois.
L'ancien plongeoir de la gigantesque piscine des années 1930 (détruite dans les années 1970) est aujourd'hui intégré dans l'espace extérieur de l'Aqualud.
Voilà, j'espère que cette promenade vous aura plu et qu'elle vous donnera l'envie d'y aller passer un petit séjour très agréable.
Pour en découvrir encore plus, je vous suggère d'aller sur les sites suivants, très complets, auxquels j'ai emprunté les textes et photos :
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Par evelaw le 10 Juillet 2010 à 12:17
Promenade du jour :
LE LOGO
Les créateurs ont retenu un symbole fort de la commune :
- Le beffroi
- Le cadre environnemental de la ville (les Monts de Flandre représentés par la colline)
Les couleurs dominantes reprennent également l'idée d'une ville à la campagne : bleu pour les ardoises des couvertures, vert pour la campagne, ocre pour les briques habituellement employées dans l'architecture et le rouge pour la couleur du drap tissé à Bailleul à partir du XIIème siècle.
ORIGINE DU NOM :
Plusieurs explications et hypothèses ont été données, mais la signification la plus généralement admise est « enclos fortifié ».
On retrouve son nom pour la première fois dans des textes datant de 1093 sous la forme « Baliol » dont on ne sait trop si elle est d'origine latine ou celtique.
Bailleul est un nom porté par 17 communes en France.HISTOIRE :
Le site de bailleul est occupé dès l'époque gallo-romaine. En 1996, des fouilles archéologiques avaient permis de retrouver les fondations d'une villa du IIème siècle au lieu-dit le Mont de Lille.
Et récemment, sur un chantier route de saint Jans Cappel, les restes d'une villa gallo-romaine ont été découverts.
L'histoire de Bailleul se confond ensuite avec celle de la Flandre.
Détruite plusieurs fois, particulièrement par des incendies, dus à l'imprudence des habitants ou à la colère des ennemis, la ville est totalement anéantie en 1918 par les bombardements et les tirs d'artilleries.
Natalis Dumez, maire de l'époque, veut lui rendre son caractère flamand : une équipe d'architectes, conduite par Louis-Marie Cordonnier, oeuvre pour la reconstruction de la ville. Bruges est choisie pour référence, et les époques Gothique et Renaissance comme sources d'inspiration.
Il naîtra cet ensemble patrimonial à l'architecture remarquable que l'on préserve aujourd'hui et qui émerveille le visiteur.
LE PATRIMOINE :
La ville recèle bien des trésors ; détruite à 98% lors de la Première Guerre Mondiale, elle renaît dans un style néo-flamand à l'instar des villes telle Ypres et Bruges ce qui lui confère un charme indéniable.
Le Beffroi
Cet édifice symbole des libertés communales a été édifié au XIIème siècle. Le beffroi qui devait être en bois à l'origine, a été rebâti en pierres.
Plusieurs fois détruit par suite de guerres ou d'incendie, il a toujours été reconstruit dans le même style.
La dernière construction date de 1932 par l'architecte Louis-Marie Cordonnier. A la base du beffroi se trouve la salle gothique.
Cette ancienne salle des gardes date du XIIIème siècle et est classée au titre des Monuments historiques depuis le 11 décembre 1922.
Son plafond est formé de quatre voûtes, soutenues par un pilier en grès au centre de la pièce. Ses murs mesurent environ 1,20 m d'épaisseur.
Le beffroi culmine à 62m, il est coiffé d'un clocher à bulbe au sommet duquel la sirène Mélusine veille sur la ville.
Il abrite le bureau du maire et le carillon qu'on entendit pour la première fois en 1777.
Après la destruction du beffroi lors de la première guerre mondiale, une seule cloche fut retrouvée intacte. Elle se trouve aujourd'hui dans l'escalier d'honneur de la mairie.
Le carillon compte 35 cloches pour un poids total de 5193 kilos. Le système de ritournelles comporte un tambour de 1,20m de long, 1m de diamètre percé de 7200 trous.
L'Hôtel de villeAttenant au beffroi, on remarque surtout la bretèche, construction avancée donnant accès à l'intérieur de la mairie.
Elle servait autrefois à proclamer les nouveaux arrêtés et donner lecture des avis à la population.
Quatre vitraux en haut de l'escalier d'honneur représentent la dentelle, la faïence, le fil et le drap.
Le musée Benoît Depuydt
Il s'est constitué en 1859 à la suite du legs consenti à sa ville natale par un riche collectionneur, Benoît Depuydt.
Tout au long de sa vie, ce greffier curieux et passionné a rassemblé d'importants objets d'art, témoins de la culture flamande du XVème au XIXème siècle.
Prolongeant son oeuvre et respectant l'esprit d'une maison de collectionneur, les donations successives d'artistes et d'amateurs renforcent le charme si particulier de ce musée.
Le Présidial
Siège d'une prison royale et du bailliage royal de Flandre, il est le seul a avoir échappé à une destruction totale.
Sa façade est de pierre blanche et de grès rigoureusement symétrique. Œuvre des architectes Legrand et Vanneuville en 1776, il est restauré en 1920.
Ancien palais de justice, il a également servi de mairie provisoire. Le monument est protégé au titre des Monuments historiques.L'école dentellière
Elle est située dans une bâtisse de style néo flamand.
Devant la maison de la dentelle se trouve le buste de William Nelson Cromwell.
Un blason de pierre de taille imbriqué dans la brique jaune, montre une jeune dentellière à l'ouvrage.
L'école continue à dispenser des cours de dentelle aux fuseaux, mais aussi à l'aiguille. Une exposition et une boutique présentent les travaux des élèves.
Folklore et Traditions
La Dentelle
L'industrie drapière a été un élément important de l'économie bailleuloise dès le XIIème siècle et un facteur essentiel du développement de la cité. Au XIVème siècle, elle oriente ses activités vers la fabrication de « petite draperie ».
Au XVIème siècle, Bailleul se tourne vers la filature du lin.
A partir du XVIIème siècle, une petite industrie dentellière produisant de la « Valenciennes bâtarde » se développe et connaît son apogée sous le règne de Charles X.
Après la Première Guerre Mondiale, Nelson Cromwell, mécène américain, fait renaître la dentelle à Bailleul en participant à la reconstruction de l'école dentellière.
Cette école académique est aujourd'hui un centre d'initiation et de perfectionnement aux techniques dentellières, la dentelle aux fuseaux ou encore la dentelle à l'aiguille.
Le Carnaval
Fondée en 1853, la Société philanthropique est à l'origine du carnaval de bailleul
Elle choisit pour géant Gargantua, fils de Gargamelle et de Grandgousier.
A l'image du bien vivre des Bailleulois, il préside le carnaval qui se déroule tous les ans le week-end précédant Mardi Gras. Détruit trois fois, c'est le 4ème du nom qui est toujours la vedette incontestée de ce carnaval, l'un des plus importants de la région.
Durant cinq jours, la ville est en liesse et se métamorphose pour faire place à des groupes de gens masqués, des tourbillons de confettis.
Bals masqués, cortèges carnavalesques, fête foraine, animations dans les cafés et les rues de la ville ponctuent ce moment fort.
La tradition se poursuit dans l'art de vivre
Les bières, spécialités flamandes et produits du terroir vous attendent pour le plaisir des papilles...Cafés, restaurants, estaminets....vous invitent à savourer ces trésors de Flandre ; partout, la convivialité est au rendez-vous.
Lien utile pour en savoir plus,
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Par evelaw le 9 Juillet 2010 à 15:25
A l'occasion des EUROMEDIEVALES qui se dérouleront ce week-end,
je vous invite pour une petite visite à Condé sur L'Escaut.
Quelques aspects de cette jolie ville
de notre belle région du Nord - Pas de Calais
Les images et textes de cet article ont été empruntés aux sites officiels :
http://www.mairie-conde-s-escaut.fr
Condé-sur-l'Escaut est située à 12 km au Nord-Est de Valenciennes, à 51 km de Lille, à 90 km de Bruxelles et à 239 km Paris.
La ville se trouve au confluent de la Haine et de l'Escaut.
HISTOIRE
Le nom Condé vient du celtique Condat(e), qui signifie « confluent ». Le nom est romanisé en Condatum avant de devenir Conde au XIVè siècle : renommée Nord-Libre en 1794 après la Révolution française, la ville prend son nom actuel, « Condé-sur-l'Escaut », en 1886.
Situé en Gaule belgique à l'époque celtique, le site, qui a su de tout temps tirer profit de sa situation stratégique (tant militairement qu'économiquement), est occupé par les Nerviens puis par les Romains qui y installent un campement militaire. Les Francs s'y installent également à l'époque des Invasions et la région est évangélisée au VIIème siècle par saint Wasnon.
Deux siècles plus tard, des vikings, s'y établissent provisoirement dans les années 880.
Remontant l'Escaut, ils prennent la place forte et y établissent un camp retranché avec un embryon de fortifications ; chassés en 885, ils réapparaissent dès l'année suivante jusqu'à leur expulsion définitive en 889.
La ville, très disputée, est tour à tour prise par les troupes flamandes , par le roi de France Louis XI en 1477, par les « Gueux de la mer », par les forces espagnoles de Don Juan d'Autriche, par le maréchal français Turenne. En 1655 et en 1656, la ville est défendue par, Vauban.
En 1676, le "Roi Soleil" s'empare de Condé (le siège est dirigé par Vauban) qui devient définitivement française en 1678 par le traité de Nimègue. Vauban, puis Du Buat améliorent les fortifications de la vieille place forte ce qui n'empêche pas les troupes autrichiennes de François de Saxe-Cobourg d'occuper la ville après un blocus de 92 jours (1793). Débarrassée des Autrichiens en 1794 , elle tombe aux mains des « Coalisés » lors de la chute de Napoléon (1815) ; ils ne la quittent que trois années plus tard, en 1818.
En 1901, Condé-sur-l'Escaut perd son titre de place-forte, l'État autorise alors son démantèlement en 1923 et durant la Seconde Guerre Mondiale, la commune est occupée par les Allemands qui exploitent ses ouvriers et sa mine de charbon.
Le charbon est exploité à la fosse Ledoux jusqu'en 1989, date de la fermeture définitive de la mine, jusque-là première source d'emplois pour les hommes. Le site est détruit en 1991.
Eglise Saint-Wasnon (1751) et son clocher (1607)
Le passé minier : Chevalement
Un peu de nostalgie avec une photo ancienne :
Route de Condé et l'Eglise - Arrivée du tramway électrique de Valenciennes
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Par evelaw le 7 Juillet 2010 à 00:16
A l'occasion de la quatrième étape du Tour de France,
ce soir à Wallers-Arenberg, dans notre région du Nord-Pas de Calais,
je vous invite à découvrir ce site minier chargé d'histoire et marqué par le courage de ses mineurs.
ARENBERG PORTE DU HAINAUT
• Ville-étape inédit du Tour de France 2010
• 150 000 habitants pour les 39 communes de la Communauté d’agglomérationdont 5 600 habitants pour Wallers-Arenberg
• Commune et Communauté d’agglomération du Nord (59)Après La Flèche Wallonne et Liège-Bastogne-Liège c’est à Paris-Roubaix que le Tour adresse un clin d’œil avec une arrivée à Arenberg, où se trouve le plus célèbre secteur pavé du monde.
La « Drève des Boules d’Hérin » est désormais connue de tous sous son surnom de « trouée », où la reine des classiques a si souvent choisi ses vainqueurs et ses perdants. L’endroit avait été signalé aux organisateurs par le champion du monde Jean Stablinski, qui fut mineur de fond à Wallers.
La Porte du Hainaut est une Communauté d’Agglomération de 150 000 habitants au coeur du Nord-Pas de Calais. Un territoire fort d’une activité économique renouvelée et d’une grande attractivité touristique. Ses 39 communes offrent une mosaïque d’attraits : une architecture héritée de l’ère industrielle ; des eaux aux vertus bienfaisantes, valorisées par des thermes, une gastronomie qui reflète le goût du terroir, une activité festive haute en couleurs autour des Géants,…
La Porte du Hainaut propose également de riches possibilités d’activité : circuits de randonnée à pied, en VTT ou à cheval, en forêt domaniale et le long de l’Escaut, de la Scarpe...Terme de cette 3ème étape du Tour, le site minier d’Arenberg figure dans le dossier de candidature au Patrimoine mondial de l’Unesco déposé par la France.
Inscrit au Pôle d’Excellence Image régional, il est l’objet d’un projet structurant comme lieu de tournages. Sa vocation : développer une plate-forme technologique favorisant la recherche, le transfert, le perfectionnement professionnel dans l’audiovisuel et les services numériques.
Le site minier de Wallers-Arenberg
© Office du Tourisme de la Porte du Hainaut - Samuel Dhote
http://www.letour.fr/2010/TDF/COURSE/fr
Unique dans le Nord-Pas-De-Calais, 3 chevalements sur le même site
Au cours de la visite commentée par des anciens mineurs
vous découvrirez l'accueil franc et chaleureux d'un monde particulier,
celui de la mine et de ses "gueu l es noires".
Viste du site minier le Mardi et le Jeudi à 9h.
Renseignements au 03.27.24.02.67 ou 06.88.80.78.85 ou 06.12.32.49.36"L'Eléphant de la Mémoire"
Cet éléphant a été construit pour le bicentenaire de la Révolution Française.
Il fut ramené par le Conseil Général et installé dans un bâtiment de la fosse d'Arenberg.
Le décor du film "Germinal"
C'est ici sur le site minier d'Arenberg que le film "Germinal" de Claude Berry sorti en 1993 fut tourné.
http://ville-de-wallers-arenberg.fr
Le pont minier de la Fosse Aremberg passe au dessus de la Trouée d'Arenberg. Il servit aux passages des trains chargés de schistes de 1954 à 1989, vers le terril.
La « Drève des Boules d'Hérin », plus connue sous le nom de « Tranchée d'Arenberg », est un chemin pavé en ligne droite de 2400 mètres de long qui traverse la Forêt de Raismes-Saint-Amand-Wallers.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Wallers
Chaque année, le Paris-Roubaix traverse les pavés de la trouée d'Arenberg.
La difficulté de ce passage de la course a fait des "pavés d'Arenberg"
un point stratégique du Paris-Roubaix mondialement connu.
La trouée d'arenberg, bordant la mare à goriaux,
est un endroit propice à de jolies balades en familles,
Issue d'un affaissement minier, s'étend sur 90ha.
Elle est encerclée par le terril qui offre des points d'observation sublime
et la reserve naturelle ornithologique..
La réserve ne compte pas moins de 200 espèces d'oiseaux différentes dans une vegetation variée que l'on parcoure sur un circuit pédestre de 6.5km
Les Etangs du Remprez
Cadre idéal pour une journée en famille à pêcher et piqueniquer, l'Etang du remprez est constitué de 3 plan d'eau bordée de pelouse avec table de pique nique..
Des concours et enduro de pêche sont régulièrement organisés pour les passionnés mais aussi les amateurs.
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Par evelaw le 3 Juillet 2010 à 16:58
Une petite excursion en Picardie, pour découvrir
Les Hortillonnages d'Amiens
Au coeur de la capitale picarde existe un site paysager d'exception : un extraordinaire jardin constitué de 300 hectares de terres cultivées, sillonnées par des petits canaux... invitation à découvrir ces "jardins flottants"...
Un site cultivé par les maraîchers depuis des siècles...
Répartis sur les communes d'Amiens, Rivery, Camon et Longueau, ces 300 hectares de terres alluviales constituent un site privilégié pour la culture maraîchère.
Un sous-sol argileux, recouvert d'un mélange de limons et de tourbe déposés par le fleuve Somme donne une terre extrêmement fertile et riche permettant plusieurs récoltes par an.
C'est ainsi que naturellement nos ancêtres les romains se sont installés sur ce site pour leurs cultures. ("Hortus" en latin signifie "jardin").
Parallèlement à la culture maraîchère, la tourbe fut également exploitée dans les Hortillonnages. Constituée de végétaux en décomposition, elle devient, une fois séchée, un combustible largement utilisé autrefois. On extrayait la tourbe à l'aide d'une grande pelle : le louchet.
Une autre activité de l'hortillon est l'entretien des rieux : il faut régulièrement couper les herbes aquatiques, désherber les berges sans qu'elles ne s'affaissent ou encore draguer les rieux pour enlever la vase et maintenir constante la profondeur des eaux.
Enfin, la préparation de la production maraîchère et la vente de cette production conditionnent également la vie de l'hortillon.
En effet, 3 jours par semaine avait lieu à Amiens un grand marché sur la quai de la Place Parmentier au pied de la Cathédrale.
La veille du marché, le maraîcher et sa femme chargeaient leur "batieu" jusqu'à ce qu'il soit plein "à rond" avec des mannes remplies de fruits et légumes.
Chaque bateau pouvaient accueillir une centaine de mannes.
Les productions étaient ensuite conduites à quai et vendues...par l'hortillonne.
A l'époque, c'était plus un marché de gros - pour commerçants et revendeurs quialimentait même les Halles de Paris.
VISITES :
Sur terre ou sur l'eau, plusieurs possibilités existent pour découvrir ce site unique en France :
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L'Association de Sauvegarde des Hortillonnages organise d' Avril à Octobre des visites commentées en barque traditionnelle à cornets d'environ 45 mn.
Les bateliers vous guident au coeur des hortillonnages à travers les différents canaux qu'ils connaissent et restaurent.
Ils vous expliqueront l'origine de cet environnement exceptionnel.
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Depuis le parc Saint Pierre, un sentier pédagogique est aménagé le long du chemin de halage.
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Le club nautique de Rivery propose un itinéraire de découverte au coeur des hortillonnages...
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Location de canoë ou kayak uniquement : Renseignements au 03 22 91 63 75
INFOS PRATIQUES :
Association des Hortillonnages
54 boulevard de Beauvillé
80000 Amiens
Tél. 03 22 92 12 18LIENS UTILES :
les textes et images de cet article ont été empruntés aux sites officiels de :
http://www.jedecouvrelafrance.com
5 commentaires -
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Par evelaw le 27 Juin 2010 à 14:09
Je vous invite aujourd'hui à une promenade du coté de Camiers, petite ville balnéaire de la Côte d'Opale qui offre rien de moins de deux plages immenses de sable fin,
Sainte Cécile et Saint Gabriel
Sainte-Cécile vue des collines
Sainte Cécile / Saint Gabriel
Vacances... Week-end... Middle-week...
A l'ombre des capitales culturelles et touristiques nord-européennes (Paris, Londres, Bruxelles et Lille à moins de 2 heures en voiture...)... Aux portes du Parc Naturel Régional des Caps et Marais d'Opales... Entre mer et forêts de la Côte d'Opale Sud... L'éco-station littorale de Camiers Sainte Cécile / Saint Gabriel dessine le cadre enchanteur d'instants choisis, en famille ou entre amis...
"Eco-station"...
Le principe d'un label environnement d'ambition nationale (reconnu par le prix national du patrimoine naturel, le prix Territoria du développement durable et trophée éco-actions du tourisme durable) privilégiant, par l'aménagement, une démarche de valorisation et de préservation du patrimoine naturel; dont la "forêt alluviale dunaire du Domaine du Rohart".
Vos loisirs couleur nature...
Sur des plages déroulées sur 3.500 mètres de sable fin, au pied des collines du Boulonnais, l'éco-territoire Baie de Canche - Mont Saint-Frieux, lieu de naissance du Conservatoire de l'espace littoral et des rivages lacustres, s'essaie, au fil des saisons, à l'entière satisfaction de vos envies partagées entre plaisirs de la mer et du sable... promenade pédestre, équestre ou cycliste... pratique des chars à voile, speed-sail et parapente...Située au Nord de la Baie de Canche, la plage de Ste-Cécile vous offre plus de 3 km de sable fin, idéale pour vos loisirs et vacances. Entre plages et dunes, dans un environnement préservé, le GR littoral vous promet une randonnée inoubliable.
Pour les amateurs de sensations fortes, venez découvrir sur la plage le char à voile, le Kite-surf et le speed-sail dans nos écoles, dans les airs le parapente et dans les arbres l'acrobranche avec Opalaventure.
Après avoir fait le plein d'émotions, la plage et les dunes remarquables vous offrent calme et tranquilité pour un repos mérité.
Après cette journée bien remplie, nos restaurants, brasseries et marchands de glaces vous accueillent en haut de la plage.
Pour tous renseignements complémentaires sur ces activités, Veuillez contacter l'Office de TourismeCoucher de soleil sur la plage de Sainte-Cécile
Liens : textes et images récupérés sur les sites officiels de :
http://camiers.skyrock.com/1.html
http://www.camiers.fr/site_mairie/office_de_tourisme1.htm
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Par evelaw le 25 Juin 2010 à 14:29
Amis du blog,
Aujourd'hui je vous fais découvrir la petite histoire d'une spécialité régionale, mondialement connue, la
La Bêtise de Cambrai
La bêtise de Cambrai est une friandise élaborée à Cambrai.
Il s'agit de bonbons aromatisés à la menthe et rayés de sucre caramélisé.
Leur origine remonterait aux environs de 1850. Leur invention résulterait d'une erreur de manipulation, une « bêtise »
Les bêtises ont la forme d'un petit coussin et sont un des bonbons à l'ancienne les plus connus.
On les aromatise aujourd'hui à différents parfums.
Deux fabricants perpétuent la tradition de la bêtise de Cambrai et s'en disputent la paternité :
- les confiseries Afchain
- et Despinoy.
A vous de choisir, pour cela voir ci-dessous un extrait de chacun de leur site web.
lien : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bêtise_de_Cambrai
Diverses histoires se racontent sur l'origine des Bêtises de Cambrai. Certains auteurs vont même jusqu'à dater la naissance de la spécialité au XIIIe siècle.
Quoiqu'il en soit, la maison AFCHAIN fût officiellement reconnue comme "le seul inventeur" du célèbre bonbon en 1889.
"Grand Mère AFCHAIN est fière de son fils,...
il a fait une belle Bêtise"Vers 1830, dans cette jolie ville paisible de Cambrai, Grand-Père AFCHAIN, qui était alors apprenti confiseur chez ses parents, avait fait des erreurs dans la fabrication des bonbons qui lui avaient été demandés.
Sa mère lui cria alors avec colère : "Ils sont ratés tes bonbons ! Tu n'es bon à rien ! Tu as encore fait une bêtise !...
Mais les bonbons se vendirent fort bien et furent beaucoup redemandés parce qu'ils étaient rafraîchissants, digestifs et surtout vraiment très bons.
On leur donna le nom de Bêtises puisqu'ils étaient le résultat d'erreurs, de bêtises de fabrication ; et c'est ainsi que Grand-Père AFCHAIN devint l'inventeur des Bêtises de Cambrai...
Le Musée de la Bêtise a été créé pour retracer l'histoire de la spécialité et les grandes étapes de son existence.
Il est situé dans l'enceinte de l'usine, et fait l'objet de visites.
Vous pouvez y découvrir gravures anciennes, médailles, diplômes, boîtes d'époque devenues depuis des pièces de collection, matériel ancien de confection ayant appartenu à l'apprenti Emile AFCHAIN.
Confiserie Afchain - Z.I de Cantimpré - 59400 CAMBRAI
Tél. : 03 27 81 25 49 / Fax : 03 27 81 20 40
m@il : betises-de-cambrai@wanadoo.frhttp://www.bienmanger.com/1r191_confiserie_afchain_accueil.html
La maison Despinoy fabrique des bonbons mondialement connus, les Bêtises de Cambrai, petits bonbons blancs de forme rectangulaire, ornés d'une bande jaune.
La Confiserie Despinoy née au début des années 1800 a retrouvé un nouvel essort sous la houlette de René CAMPION lors de sa reprise en 1972.
Dès que vous pénétrez dans l'atelier de fabrication, vous êtes plongé dans une atmosphère chaleureuse et envoûtante.La subtile odeur de menthe s'empare de vous, les superbes cuiseurs en cuivre attirent votre attention pendant que les artisans travaillent la pâte comme à l'époque des toutes premières Bêtises...
Les visiteurs sont tout d'abord accueillis par une "bêtise" tout droit sortie du four.Puis, ils découvrent les différentes étapes de sa fabrication, du choix du sucre au conditionnement, en passant par la pâte et la cuisson.
Adresse
1519 Route Nationale
59400 Fontaine notre dameContact
Monsieur CAMPION
téléphone : 03 27 83 57 57 - Fax : 03 27 83 03 73
http://www.tourisme-cambresis.fr/betises-cambrai-despinoy.htmlA la prochaine, pour d'autres bonnes spécialités régionales.
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Par evelaw le 20 Juin 2010 à 11:41
Pour continuer notre découverte de la Côte d'Opale,
voici le site des deux Caps, le Blanc-Nez et le Gris-Nez
Les textes et photos ont été empruntés au site officiel de
N'hésitez pas à le consulter pour en savoir plus.
LOGO DU PARC
Parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale
se situe dans le nord du département du Pas-de-Calais et entre les villes de Calais, Saint-Omer, Boulogne-sur-Mer et Étaples.
Il constitue l'un des trois Parcs naturels régionaux de cette région. Il est né en mars 2000 du regroupement des Parcs du Boulonnais et de l'Audomarois.
Le Parc est situé en bordure d'une des mers les plus fréquentées du globe et dans une région densément peuplée.
Le parc possède un patrimoine naturel d'une grande diversité: milieux littoraux (dunes, falaises et estuaires), marais et zones humides, forêts, bocages, pelouses calcicoles et landes. Il existe plusieurs zones classées Natura 2000, ainsi que des réserves classées à différents niveaux.
Vue rapprochée des falaises entre le Cap Blanc-Nez et le Cap Gris-Nez (langue de terre qui s'avance dans la manche) au loin. La Manche est ici à marée haute. Sur ce cliché, on distvingue bien la hauteur imposante de ces falaises face à la Manche.
Cap Blanc-Nez près de Calais
Les goélands veillant sur le détroit du Pas de Calais
Falaises au pied du Blanc nez à marée bas
Le Cap Gris-Nez est en France le lieu le plus proche de l'Angleterre.
On distingue sur la photo le phare du Cap Gris-Nez qui porte à 45 km
et à sa base le Centre Régional Opérationnel de Surveillance et de Sauvetage (CROSS)
qui a en charge de gérer le trafic maritime de la Manche qui est plus important au monde : 500 navires par jour.
Promenade à suivre........merci pour votre attention.
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Par evelaw le 8 Juin 2010 à 00:00
Les Géants du Nord
Dans le folklore du Nord de la France et de Belgique, le géant est une figure gigantesque qui représente un être fictif ou réel.
Hérité de rites médiévaux, la tradition veut qu’il soit porté, et qu’il danse dans les rues les jours de carnavals, braderies,kermesses, ducasses et autres fêtes. Sa physionomie et sa taille sont variables, et son appellation varie selon les régions ; chez les Flamands, il est connu sous le nom de Reuze, chez les Picards, il est appelé Gayant.
Reuze Papa de CasselLes géants du Nord Pas ce Calais
Cliquer sur l'image pour voir le diaporama
montrant les géants du Nord - Pas de Calais
Créé par un groupe de personnes qui partagent des valeurs communes, le géant est un symbole majeur de l’identité collective. Porté par une ou plusieurs personnes, il se déplace seul, en couple, ou en famille, lors de son jour de fête. En effet, chaque géant possède son jour de sortie : le porteur lui donne alors vie, le fait danser, embrasser une géante, saluer la foule…
Ils apparaissent souvent lors de cortèges ou parades accompagnés de la fanfare locale. L'orchestre joue des marches de carnavals, de ducasses ou des airs et des chansons qui leurs sont dédiés.
Chaque géant a son histoire, les géants naissent, sont baptisés, se marient et ont des enfants comme les hommes. Le géant, en tant que représentant des habitants du lieu où il vit, est enraciné dans la tradition et fait partie de la culture populaire.
Le géant a une origine lointaine. La création et la vie du géant sont les témoins de pratiques ancestrales, propres aux régions possédant des géants sur leur sol. Présente sur tous les continents, la tradition des géants est désormais un élément du patrimoine vivant.
Depuis novembre 2005, les géants traditionnels de France et de Belgique et leurs fêtes sont inscrites au titre de chefs-d’œuvre du patrimoine oral et immatériel de l'humanité auprès de l’UNESCO.
HistoriqueLe géant est originaire d’Europe méridionale, et plus particulièrement de la péninsule Ibérique.
Les traces les plus anciennes se trouvent au Portugal et remontent au xiiie siècle. Plus tard, le phénomène des géants s’est développé en Espagne ; ce sont alors des personnages muets qui miment des épisodes de l’histoire religieuse et des légendes locales. Au xvie siècle, l’Espagne domine beaucoup de régions d’Europe, du Nouveau Monde et d’Asie. On dit alors qu’elle possède un empire où le soleil ne se couche jamais. En Europe, celui-ci s’étend jusque dans les Provinces du Nord, soit le Nord-Pas-de-Calais, à la Belgique, et aux Pays-Bas, territoires où le phénomène des géants s’est développé.
Les géants du Nord de la France, on en dénombre plus de 559, ils sont implantés aux quatre coins de la région Nord-Pas-de-Calais. On en trouve également dans les départements de l'Aisne, l'Oise et la Somme.
Cependant, la tradition des géants portés disparait, et de plus en plus de géants sont sur des chars ou roues et ils ne peuvent plus vraiment danser. Pour lutter contre la disparition des géants portés des associations tentent de préserver la tradition.
Les textes et images ont été empruntés au site officiel de
http://fr.wikipedia.org/wiki/Géants_du_Nord
et le PPS de MIMOSAS
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Par evelaw le 1 Juin 2010 à 17:42
Aux Amis du Blog, je propose cette semaine une
Balade dans les Monts des Flandres
Les monts des Flandres sont apparus à la fin du miocène.
À l'époque, la mer recouvrait la région. Lorsqu'elle se retira, les sables déposés furent exposés à l'érosion, leur oxydation forma du grès et les anciennes dunes formèrent les monts.
Posés sur un plateau argileux sédimentaire surbaissé, les monts sont ainsi constitués de sables couronnés de calottes gréseuses épargnées par l’ l'érosion.
Cinq collines imposantes forment dans la partie française , la chaîne des Monts de Flandre: Mont Cassel (178m), Mont des Récollets (159m), Mont de Boeschepe (137m), Mont des Cats (158m) et Mont Noir (130m).
Cet ensemble naturel contraste fortement avec les basses terres qui vont mourir un peu plus loin dans la mer du Nord.
Le Mont Cassel
Noté sous le nom de "Castellum Menapiorum" sur la carte de Peutinger, Cassel, carrefour de voies, fut fortifié par les Romains.
Point stratégique important puisque le plus élevé des monts de Flandre, il fut le siège de grandes batailles qui décidèrent du destin de la Flandre et de la France : en 1071 victoire du comte de Flandre, Robert le Frison, sur son frère ; en 1328 victoire de Philippe VI de Valois sur les Communiers flamands ; en 1677 victoire de Philippe d'Orléans ( dite « du Val de Cassel »), frère de Louis XIV, sur les Espagnols, ce qui décida du rattachement de Cassel et de la Flandre maritime à la France par le traité de Nimègue en 1678.
Le Général Foch y établit son quartier général d'octobre 1914 à juin 1915 et de là suit la bataille des Flandres qui fait rage sur l'Yser. En mai 40, des troupes britanniques y laisserons de nombreux tués et prisonniers après de durs combats.Le Mont Cassel est une place forte naturelle, très souvent dévastée : les fortifications furent détruites par deux fois : en 928, d'origine flamande, en 1677, suite à a bataille du Mont Cassel qui entraîna l'annexion de la Flandre à la France. Les remparts sont dits "fantômes" ...
Le Moulin du château : 59670 Mont-Cassel - Tél. : 28 40 52 55
Jadis, sur le Mont- CASSEL, il y avait une vingtaine de Moulins. Ces géants étaient construits en bois, sur pivot. Leurs meules écrasaient le blé & les céréales. D'autres, équipés de pilons qui aplatissaient des graines oléagineuses, exprimaient le Colza, le Lin & l'œillette étaient dits Tordoirs d'huile. D'autres, équipés de pilons et de lames réduisaient en poudre les écorces (de chêne) pour fournir le tan aux Tanneurs..
Tous étaient mus par le vent, énergie parfois capricieuse mais non polluante.
Le Moulin à vent du XVI ème siècle brûla, comme tant d'autres, le 30 octobre 1911. C'est en 1947 que le Syndicat d'Initiative de Cassel racheta le Moulin Ruytoor d'Arneke, dans un état totalement délabré, parce qu'abandonné: le Meunier y avait perdu la vie accidentellement.
Le Moulin que vous pouvez, de nos jours, admirer est donc devenu le KASTEEL MEULEN, il fut un des premiers Moulins ouverts au public en 1949. Aujourd'hui, les visites sont guidées: on assiste à la mouture & au tamisage. Trois qualités de farine fraîche sont produites et offertes gratuitement.
Le Mont des Cats
Ce Mont est couronné par l'abbaye trappiste de style néo-gothique qui fut fondée en 1826. Les moines y fabriquent le très réputé fromage de l'abbaye du Mont des Cats.
Le Mont des Cats offre de multiples possibilités de promenades. Depuis les chemins en lacet on pourra admirer la campagne flamande, doucement vallonnée avec ses damiers de cultures aux couleurs variées et ses houblonnières.
Le Mont des Cats, c'est aussi un site remarquable avec un large panorama sur la région, l'occasion d'une promenade fort agréable... certains la font en vélo, d'autres à pied... comme dans les souvenirs de Marguerite Yourcenar...
Le Mont Noir
"Mes plus forts souvenirs sont ceux du Mont Noir, parce que j'ai appris à aimer tout ce que j'aime encore" Marguerite Yourcenar, 1980.
Les châtaigniers qui poussent au sommet du Mont Noir lui donne un aspect sombre accentué par des pentes de 40°. Vers Berthen, dans un domaine boisé, se trouve la villa Mont Noir, ancienne demeure des parents de la romancière Marguerite Yourcenar, aujourd'hui maison d'écrivain.
Mont de Boeschepe
Il abrite sur son flanc le village du même nom ou vous pourrez découvrir le moulin et vous restaurer à la terrasse de l'Estaminet.
Boeschepe partage avec les autres villages de cette région un patrimoine riche de convivialité et de traditions festives.
Le moulin de l'Ingratitude et l'estaminet «De Vierpot» (le pot à braise)
Les textes et images de cet article ont été empruntés aux sites officiels de :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Monts_des_Flandres
http://www.jedecouvrelafrance.com/
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Par evelaw le 28 Mai 2010 à 15:36
Pour les Amis du Blog, un petit rappel de l'hisorique
LA FETE DES MERES
Dans la Grèce antique on fêtait Rhéa, la mère de tous les dieux
Les Romains au Vème siècle avant Jésus-Christ, célébraient au mois de juin les "Matraliae", fête des femmes et des mères.Historique de cette fête en France
Napoléon aurait créé officiellement en 1806 une fête des mères au printemps. En 1897, l'Alliance Nationale lance l'idée de la fête des enfants. Puis en 1917, on organise une fête des familles nombreuses. Puis, vient en 1918 la première journée des mères de famille et enfin la fête des mères devient une fête officielle depuis le 24 mai 1950.
Elle a aujourd'hui lieu le dernier dimanche de mai, sauf si ce dimanche est celui de la Pentecôte, auquel cas elle a lieu le dimanche suivant.Les Coutumes
Il est d'usage de faire un cadeau, ou encore de prendre en charge à sa place tout ou partie de ses "missions" habituelles, que ce soit la cuisine, la lessive, le ménage ou le repassage.
En Angleterre
Au XVIème siècle on célébre le "Mothering Sunday" au début du carême. Par la suite, on fixe cette fête au 4ème dimanche du printemps. Ce jour là, toutes les domestiques pouvaient retourner passer la journée chez elle avec leur famille. Un gâteau spécial, le "Mothering cake", était alors confectionné.Aux Etats-Unis
En 1872, Julia Ward Howe lance à Boston, la première une grande fête à l'attention des mères. Puis en 1907, Ana Jarvis de Philadelphie, reprend l'idée et organise une grand célébration le 2ème dimanche de mai. Cette date correspond à l'anniversaire du décès de sa mère. En 1911, Ana Jarvis lance une grande campagne afin que partout dans le pays on célèbre la Fête des Mères. En 1914, le Président Wilson instaure officiellement la fête des mères le 2ème dimanche de mai.En Belgique
La fête des mères se célèbre généralement le 2ème dimanche du mois de mai. Mais dans certaines régions (Anvers par exemple), elle se célèbre le 15 août, le jour de Marie.Au Viet-Nâm
Cette fête (la fête du Vu Lan) se célèbre le 15ème jour du 7ème mois lunaire.En Allemagne
La fête des mères a lieu le 2ème dimanche du mois de mai. En principe, ce jour là, ce sont les enfants qui prennent en charge tous les travaux habituellement effectués par leur mère.Les textes et illustrations sont empruntés au site officiel de :
http://tourterelles.free.fr/coup.de.coeur/dossiers/fetes/meres.htm
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Par evelaw le 28 Mai 2010 à 00:37
Pour les Amis du Blog, une idée d'activité pour le Week-end prochain :
Les textes et photos ont été empruntés au site officiel de :
link http://www.lillemetropole.fr
Les Prés du Hem
Plus de 120 hectares de nature à quelques minutes du cœur de Lille Métropole : vous êtes aux Prés du Hem, à Armentières.
Le Lac de toutes les aventures !
Aux Prés du Hem, sur un lac de 45 hectares, petits et grands apprendront à naviguer avec la première école de voile de France sur plan d’eau intérieur. Vous n’avez pas le pied marin ? La plage, les jeux, la réserve ornithologique, la maison de l’eau : pour passer un bon moment, vous aurez tout de même l’embarras du choix. Une quinzaine d’activités en tous genres vous attendent, pour découvrir la nature et s’oxygéner le corps et l’esprit… en s’amusant !
Evénement : les 29 et 30 mai 2010,
La journée des 1000 espèces aux Prés du Hem
La journée des Mille Espèces : 24 heures pour recenser le maximum d’espèces vivantes sur trois sites majeurs de l’Eurométropole Lille - Kortrijk- Tournai ! Une opération forte, résolument transfrontalière, réalisée dans le cadre du BiPS avec nos amis belges.
Plusieurs dizaines de biologistes, armés de jumelles, loupes, filets et carnets de notes, arpenteront les 120 hectares de zones humides péri urbaines des Prés du Hem. Ces spécialistes de faune et de flore chercheront les « petites bêtes » qui foisonnent aux portes de nos villes, dans les hautes herbes, le sol, l’air et l’eau. Plantes et champignons seront aussi répertoriés avec minutie, afin d’en dresser le catalogue exhaustif.
Déroulé de la journée aux Prés du Hem
Samedi 29 mai de 10h à 12h :
Conseil consultatif métropolitain des usagers sur le thème de la biodiversité.
Samedi 29 mai 12h : barbecue et lancement de l'opération "24h pour 1000 espèces"
Jusqu’au lendemain dimanche midi, les biologistes observent, récoltent, et identifient la faune et la flore. Présentation en continu dans la grande salle des Prés du Hem, avec observation des scientifiques au laboratoire, vidéo projections des 1000 espèces sur grand écran, encodage des données franco belges via Internet.Samedi 29 mai à 14h et 17h : "le déjeuner sur l'herbe"
Conférence spectacle du chaman urbain Bernard Dreudon
Samedi 29 mai à 16h et 17h : « à la rencontre des naturalistes »Animation-visite guidée sorties tout public, tour du lac et visite aux naturalistes experts : l’algologue-plongeur, l’arachnologue-piégeur...
Samedi 29 mai à 18h : « Kayak nature »Sortie kayak nature sur le lac et visite guidée. Animation sur réservation, durée deux heures
Samedi 29 mai à 19h30
Pique-nique
Samedi 29 mai à 21h : « la nuit des 1000 espèces »Visite guidée à la recherche des animaux de la nuit: chauves souris, chouettes, amphibiens, papillons de nuit…
Dimanche 30 mai à 7h : « Le réveil des 1000 espèces »Promenade découverte suivie du petit-déjeuner
Dimanche 30 mai à 10h
Visite guidée
Dimanche 30 mai 12h : clôture joyeuse des "24 heures pour 1000 espèces"
Lecture transfrontalière des bases de données, premiers résultats chiffrés de biodiversité.
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Pendant 24 heures, non stop, des équipes de scientifiques et des passionnés de faune et flore vont tenter de relever un défi insolite : recenser 1 000 espèces sur trois sites de l’Eurométropole Lille-Kortrijk-Tournai. La base des prés du Hem à Armentières fait partie de l’aventure. Elle accueillera le public, pour rendre compte en direct des résultats et proposera des animations sur le thème de la biodiversité. Rendez-vous le samedi 29 mai…
Aux Prés du Hem, côté français, à Comines-Warneton et Courtrai, côté belge, plusieurs dizaines de biologistes vont ratisser environ 120 hectares de zones humides à la recherche de la moindre petite bête. Cet inventaire de la biodiversité, réalisé pour la première fois s'inscrit dans le cadre du programme européen BiPS (Biodiversité Periurbaine-biodiversiteit in de Stadsrand).
En l'espace de 24 heures, entomologistes, arachnologues, algologues-plongeurs, spécialistes des pollens, des lichens...arpenteront - de jour comme de nuit - trois espaces de nature, armés de leurs jumelles, loupes, filets et masques de plongée... Leur objectif : ne négliger aucun être vivant qui compose les nombreux biotopes du Val-de-Lys : lac, étang, rivière, canal, mares, vasières, fossés, priaires de fauche ou patûrées, pelouses, haies...
Combien de papillons de nuit, d'insectes de chez nous...
Pendant ce temps, le public sera invité à prendre connaissance du résultat des découvertes en direct. Des visites-guidées encadrées (pour ne pas gêner les scientifiques et respecter les lieux), des salles d'expositions, de recueil et d'informatisation des données, permettront d'assister au challenge. Et de s'informer sur les modes de gestion des différents environnements.
"Les enjeux de la biodiversité ne sont pas seulement entre les mains des scientifiques, mais également entre celles du public. Ces rencontres seront l'occasion de montrer que chacun d'entre nous, dans sa ville, dans son jardin peut contribuer à la défense de la biodiversité", indique Slimane Tir, président de l'Espace Naturel Lille Métropole (ENLM).
"Ces 24 heures seront le démarage d'un inventaire collectif transfrontalier, ajoute Pierre Dhénin, directeur de l'ENLM, qui permettra d'établir des bio indicateurs. Ceux-ci nous indiqueront si tel milieu est en danger ou au contraire s'il s'enrichit". Autant de données qui aideront aux gestionnaires des sites d'inscrire leurs projets dans le respect de la biodiversité.
Résumé Pratique :
Les samedi 29 et dimanche 30 mai aux Prés du Hem à Armentières.
12 h : Coup d'envoi des 24 heures.
16 h : Autour du lac. Sortie tout public et rencontre avec des experts (algologues et arachnologue).
18 h : Kayak nature.
21 h : "La nuit des 1000 espèces", à la rencontre des chauves-souris, des chouettes, des amphibiens et papillons de nuit.
7 h : "Le réveil des 1000 espèces", animation autour des chants d'oiseaux, du réveil des insectes.
12 h : Clôture. Lectures transfrontalières des bases de données. Premiers résultats chiffrés de biodiversité... Qui va gagner, qui aura recensé le plus d'espèces ? Les Prés du Hem, la réserve naturelle de Ploegsteert ou De Gavers?
Renseignements et inscriptions
Les Prés du Hem
7, avenue Marc-Sangnier
59280 Armentières
Tél : 03 20 63 11 27
presduhem@enm-lille.fr
5 commentaires
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